À LA DÉCOUVERTE DE ADIATOU TRAORÉ :UNE FEMME AUX VALEURS INCOMMENSURABLES
Bonsoir monsieur le journaliste, comment vous allez ? J’espère que vous allez très bien ?
Ici c’est Aliatou TRAORÉ et je vais vous raconter un peu de ma vie.
Ma maman fut chanteuse de la musique traditionnelle ( elle chante accompagné de tamtam) de temps en temps quand elle va chanter je là suis et maintenant elle a arrêté la musique. J’ai une sœur qui s’appelle Nasirath TRAORE qui m’a pris et amené dans un studio et m’a demandé si je peux chanter et je lui ai dis oui je peux. Elle m’a amené dans sont studio chez Térano puis j’ai commencée par chanter et mon premier album est sorti qui s’appelle Bongfé c’est à dire il faut l’ignorer. Maintenant je suis tellement en joie d’être comme je suis aujourd’hui parceque n’importe qui ne peut pas être artiste. Et c’est aussi le don de Dieu. Merci beaucoup cher journaliste.La souffrance que j’ai rencontré dans mon métier d’artiste est que je n’avais personne qui m’aidait. C’est moi même qui paye mes frais du studio. Je me suis débrouillé et maintenant j’ai grandi, je sors, je fais des long voyages et maintenant j’ai quelqu’un qui me fournit.
La souffrance est que tu vas dans un lieu et on te prend mal.
La vie c’est que l’homme gagne ou il échoue. Côté sentiment, c’est vrai, j’ai un enfant et j’étais mariée mais je ne suis plus avec mon mari , je suis avec ma famille ma maman, mes petites sœurs. Je suis pas mariée en ce moment là. Je Suis avec la maman actuellement si c’est le voyage je préviens ma maman depuis trois jours avant d’aller. Je n’ai aucune difficulté ma profession parce que je suis avec maman. Vraiment le métier d’artiste peut nourrir son homme ,mourir la famille et te nourrir toi-même, en tout cas dedans tu peux faire beaucoup de choses, c’est un don de Dieu. Je vous remercie Mr le journaliste.