JOURNÉE INTERNATIONALE DE LA LIBERTÉ DE PRESSE

JOURNÉE  INTERNATIONALE DE LA LIBERTÉ DE PRESSE

Les journalistes sont toujours derrière les perdiems.
c’est une question d’éthique et de déontologie. La responsabilité incombe à tous et les avis sont partagés sur cette question. Certains patrons de presse sont incapables de payer les journalistes de leur organe de presse semant ainsi la précarité dans la vie quotidienne de leurs journalistes.
Ainsi, l’etat n’accompagne pas comme cela se doit les organes de presse privés créant ainsi un manque à gagner pour les patrons de presse.
Il n’est pas rare de rencontrer les hommes des médias qui croupissent derrière les perdiems après avoir mené des activités, dans une inégalité totale. Normalement les perdiems ne sont pas prescrits par les tests et donc le journaliste qui fait bien sa profession devrait avoir le minimum pour sa survie, son salaire, ces primes d’encouragement et d’habillement et autres pour subvenir à ses besoins. Mais au Bénin, l’on remarque avec consternation que le journaliste est mal traité, mal habillé , mal logé et mal soigné. Bref, un mendiant au quotidien et un affamé de tous les jours. Il devrait donc revoir son système de vie et s’adapter au lieu de courir derrière les perdiems qui n’honore guère la corporation .

David NOUWEIN journaliste

TATA INFOS LE VRAI VISAGE DE L’AFRIQUE LE PEUPLE DOIT SAVOIR LA VÉRITÉ

tatainfos

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *